Lorsqu'on regarde attentivement le relief du Parc national Forillon et de la côte nord de la Gaspésie, on remarque des couches de roches différentes, que l'on pourrait parfois qualifier de « torturées ». Elles nous disent que la Gaspésie a voyagé et s'est transformée sur des millions d'années, explique Maxime St-Amour, chef de l'interprétation naturelle, historique et culturelle au parc Forillon de 1970 à 1998. Il signe un texte dans la récente édition du Magazine Gaspésie.
Début du contenu