•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Début du contenu

Finis les accidents et le trafic grâce à la voiture autonome

Bienvenue en 2067, ICI Première.
Audiofil du samedi 24 juin 2017 - Les transports

Finis les accidents et le trafic grâce à la voiture autonome

Les voitures autonomes : Entrevue avec Catherine Morency, experte en mobilité

En 2067, rares sont les propriétaires de voitures.
En 2067, rares sont les propriétaires de voitures.PHOTO : Radio-Canada / Marie-Pier Mercier
Bienvenue en 2067, ICI Première.
Bienvenue en 2067Publié le 24 juin 2017

Être propriétaire d'une automobile en 2067, c'est dépassé, estime Catherine Morency, professeure à Polytechnique Montréal. « La société a compris que c'était un fardeau », affirme-t-elle. Ce moyen de transport est depuis longtemps organisé en réseau collectif rappelant les Car2go et Communauto d'antan.

Finis le trafic et les accidents grâce à la voiture autonome
Être propriétaire d’une automobile en 2067, c’est dépassé, estime Catherine Morency, professeure à Polytechnique Montréal. « La société a compris que c'était un fardeau », affirme-t-elle. Ce moyen de transport est depuis longtemps organisé en réseau collectif rappelant les Car2go et Communauto d’antan.

Pour aller à l’épicerie ou au centre commercial, il suffit de commander une voiture sans chauffeur qui nous amène à la destination souhaitée et qui repart aussitôt pour aller chercher un autre client. L’époque où il fallait chercher une place où se garer est révolue. Les gigantesques stationnements ne sont plus utiles. De plus, la circulation et les accidents de la route sont inexistants, puisque les automobiles sont connectées entre elles et réagissent intelligemment en fonction de la position des autres.

« Le permis de conduire? On n’a plus ça depuis au moins 20 ans… »

— Une citation de  Catherine Morency

Les gens se sont réapproprié les rues
« On donne une place plus grande à la vie en ville », dit Catherine Morency, comparant les milieux urbains de 2067 à ceux du début du 21e siècle. Il y a plus d’espaces consacrés à la vie communautaire dans les grands centres. « En ville, on se déplace plus lentement [qu’avant], et entre les villes, beaucoup plus vite. »