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Les Rose : un documentaire à ne pas manquer sur la crise d'Octobre

Photo d'un homme qui lève le poing en l'air, en surimpression sur des photos de famille, avec le titre « Les Rose ».
Le felquiste Paul Rose, père de Félix RosePHOTO : ONF
Publié le 21 août 2020

Personnages extraordinaires, film émouvant, documentaire formidable... Helen Faradji et Georges Privet ne manquent pas de mots pour vanter le travail de Félix Rose, réalisateur du film documentaire Les Rose. Helen Faradji a particulièrement apprécié l'équilibre entre l'histoire intime de la famille Rose qui se mêle à la grande histoire du Québec et de la crise d'Octobre. Georges Privet a quant à lui salué la simplicité de la démarche d'un fils qui cherche à comprendre qui était son père.

Dans Les Rose, Félix Rose cherche à savoir pourquoi son père et son oncle, Paul et Jacques Rose, ont participé à la prise d'otage qui s'est soldée par la mort du ministre Pierre Laporte, en octobre 1970.

« On ne se sert pas de ces deux histoires mêlées, la grande, du Québec, et la petite, de la famille, pour régler des comptes, faire du militantisme, [...] mais on essaie de redonner un éclairage, pas forcément nouveau, mais différent, à une histoire québécoise extrêmement connue. »

— Une citation de  Helen Faradji

Helen Faradji a également été impressionnée par le travail d’archives de Félix Rose et par la musique de Philippe Brach.

De son côté, Georges Privet a été marqué par les personnages extraordinaires, selon ses mots, que sont non seulement les frères Rose, mais également leurs parents.

Il a trouvé le film émouvant, parce qu’il montre ce qu’il se passe après avoir échoué à essayer de changer le monde.