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Début du contenu

Bien entendu, ICI Première.
Bien entendu, ICI Première.
Bien entendu

Rattrapage du 29 déc. 2020 : Yves Lambert, Gad Saad et Patrice Fortier

Résumé

Le musicien et chanteur Yves Lambert parle de son confinement et de ses projets artistiques à venir; le professeur Gad Saad critique le milieu universitaire; Caroline « Loounie » Huard traite de l'importance des échecs en cuisine; la première Master Sommelier du Québec Élyse Lambert propose deux suggestions de champagnes; la nutritionniste Hélène Laurendeau nous fait découvrir le stollen, un dessert allemand; Émilie Dupont, coordonnatrice de la démarche de l'économie circulaire à la Société d'aide au développement de la collectivité du Kamouraska, explique pourquoi le Bas-Saint-Laurent a été nommé première FabRégion au Canada; et le semencier Patrice Fortier y va de trucs pour tendre un peu plus vers l'autonomie alimentaire.

  • 9 heures 6 minutes

    Sommaire de l'émission avec Stéphan Bureau

  • 9 heures 8 minutes

    Entrevue avec la légende de la musique folklorique québécoise Yves Lambert

    Yves Lambert rit au micro de Stéphan Bureau.

    Yves Lambert, un musicien qui veut réconforter le public

    « J'ai rien que le goût de donner du réconfort et du plaisir à l'état pur. C'est vraiment extrêmement important, présentement, pour tous les artistes », affirme le chanteur et musicien Yves Lambert avec son enthousiasme légendaire. L'ex-membre de La Bottine souriante, qui s'arrêtera devant 18 résidences de Baie-Saint-Paul les 30 et 31 décembre à l'occasion de la « Tournée de portes » du Festif!, n'a qu'un seul et unique but : faire passer un bon moment aux spectateurs et spectatrices. « À un moment donné, on fait de la musique pour l'ego, pour le plaisir, pour le party, mais avec le temps, l'essence de ça et le but premier, c'est de faire plaisir au public », dit-il.
  • 9 heures 27 minutes

    Entrevue avec Gad Saad : Nos sociétés souffrent-elles d'une pathologie collective?

    Le professeur montréalais Gad Saad sourit sur un banc.

    Il faut combattre les idées qui parasitent nos esprits, selon le professeur Gad Saad

    « Je suis inquiet. [...] Ces parasites idéologiques se répandent en dehors du monde académique », dit Gad Saad, professeur à l'Université Concordia, à propos du postmodernisme, du relativisme culturel, de la politique identitaire et du féminisme militant. Selon le titulaire de la Chaire de recherche sur les sciences du comportement évolutionniste et la consommation darwinienne, ces idées, tel un virus, contaminent l'esprit de l'être humain. L'auteur du livre The Parasitic Mind: How Infectious Ideas Are Killing Common Sense n'est pas tendre à l'endroit du monde universitaire et des tenants de la justice sociale. « Ça prend des intellectuels pour créer des idées vraiment bêtes et stupides », dit-il.
  • 10 heures 6 minutes

    Sommaire de la 2e heure

  • 10 heures 9 minutes

    Caroline Huard : L'importance des échecs en cuisine

    Une personne doute de la recette qu'elle prépare.

    De l'importance de commettre des erreurs et échecs en cuisine

    « C'est normal de faire des erreurs en cuisine », affirme tout de go Caroline « Loounie » Huard. L'automne dernier, devant l'abondance de photos de « recettes parfaites » sur les réseaux sociaux, la cuisinière végane a demandé aux membres de sa communauté de lui envoyer des photos de leurs échecs culinaires les plus retentissants. « Ç'a été exercice absolument hilarant, mais un phénomène inattendu s'est aussi produit : beaucoup de gens m'ont écrit pour me dire que ça les avait beaucoup apaisés; ça leur avait donné plus de confiance en cuisine, parce qu'ils avaient tendance à se mettre beaucoup de pression pour être parfaits. » Mme Huard explique pourquoi l'échec est important et formateur en cuisine.
  • 10 heures 20 minutes

    Élyse Lambert : Des bulles pour le réveillon

  • 10 heures 25 minutes

    Hélène Laurendeau : Le stollen

  • 10 heures 35 minutes

    Frédéric Morin : Les assaisonnements raisonnables

  • 10 heures 46 minutes

    Le Bas-Saint-Laurent, 1re FabRégion au Canada

  • 10 heures 54 minutes

    Élyse Lambert : Spiritueux du Québec, quelques nouveautés de 2020

  • 11 heures 6 minutes

    Discussion avec le semencier Patrice Fortier

    Patrice Fortier regarde au loin dans une plaine.

    Mieux connaître nos semences, un bon pas vers l’autonomie alimentaire

    « Je me suis donné comme mandat d'aider les gens à développer leur propre autonomie alimentaire végétale », dit le semencier Patrice Fortier, propriétaire de La société des plantes, établie à Kamouraska. Selon lui, les jardinières et jardiniers qui tendent vers plus d'autonomie alimentaire devraient, en premier lieu, investir leurs efforts dans des semences adaptées aux conditions de l'endroit où ils vivent. « Pour moi, l'autonomie alimentaire, ça peut vraiment comporter des revirements d'habitudes assez importants, comme [le fait de] se consacrer à des aliments qui donnent de meilleurs résultats dans nos régions », explique-t-il.