Le syndicat des chargés de cours de l'UQO déplore les propos du recteur Denis Harrisson après la décision de plusieurs groupes de boycotter la consultation sur l'élaboration d'une politique contre les violences sexuelles.
Récemment l’Association générale étudiante de l’Université du Québec en Outaouais, le Comité femmes, ainsi que trois syndicats ont décidé de boycotter la consultation menée par la direction de l’Université sur l’élaboration d’une politique de lutte contre les violences sexuelles.
Le recteur avait alors déploré ce qu’il qualifie « d’agenda caché » de ces groupes, dont il dénonce la mauvaise foi.
« On veut que, comme dans toute démarche de recherche, on ait les chiffres. On ne veut pas de noms, on veut que ce soit fait de façon transparente. On a demandé une rencontre avec le recteur et on n'a eu aucune réponse. »
Pour faire le point sur cette histoire, nous avons parlé avec la présidente du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO, Marie-Josée Bourget.