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Culturel : critique du spectacle Confession publique de Mélanie Demers

Une femme qui pointe son visage vers le haut en tenant son cou avec son bras.
Le spectacle «Confession publique», de Mélanie Demers, est présenté jusqu’à samedi à La Nouvelle Scène, à Ottawa.PHOTO : La Nouvelle Scène Gilles Desjardins / Cloé Pluquet
Les matins d'ici, ICI Première.
Les matins d'iciPublié le 17 mars 2023

Porté par une seule interprète, le spectacle Confession publique allie danse, théâtre et chant. Présentée jusqu'à samedi soir à La Nouvelle Scène, à Ottawa, cette proposition « singulière et audacieuse » - pour un public de 16 ans et plus - peut ne pas plaire à tous, mais elle ne laissera personne indifférent, selon la journaliste culturelle Aïda Semlali.

Sur scène, la danseuse Angélique Willkie se met à nu - émotionnellement et physiquement - pour confier ses souvenirs au public. Mis en scène par la chorégraphe Mélanie Demers, le spectacle oscille entre beauté et brutalité.

C’est avant tout le travail qu’elles ont fait sur le corps qui fascine, souligne Aïda Semlali. Que l’on soit drapés d’un linge modeste ou d’une fourrure, nous sommes, tous et toutes, cette même enveloppe charnelle fragile et vulnérable face au regard de l’autre.

Pour y aller :

Confession publique
Jusqu’à samedi
À La Nouvelle Scène, à Ottawa