Porté par une seule interprète, le spectacle Confession publique allie danse, théâtre et chant. Présentée jusqu'à samedi soir à La Nouvelle Scène, à Ottawa, cette proposition « singulière et audacieuse » - pour un public de 16 ans et plus - peut ne pas plaire à tous, mais elle ne laissera personne indifférent, selon la journaliste culturelle Aïda Semlali.
Sur scène, la danseuse Angélique Willkie se met à nu - émotionnellement et physiquement - pour confier ses souvenirs au public. Mis en scène par la chorégraphe Mélanie Demers, le spectacle oscille entre beauté et brutalité.
C’est avant tout le travail qu’elles ont fait sur le corps qui fascine
, souligne Aïda Semlali. Que l’on soit drapés d’un linge modeste ou d’une fourrure, nous sommes, tous et toutes, cette même enveloppe charnelle fragile et vulnérable face au regard de l’autre.
Pour y aller :
Confession publique
Jusqu’à samedi
À La Nouvelle Scène, à Ottawa