Pendant la pandémie, beaucoup ont passé plus de temps sur leurs téléphones et leurs tablettes qu'à leur habitude, et pas juste pour travailler, mais bien pour flâner sur les réseaux sociaux. Axelle Moreau, professionnelle de recherche à l'Institut universitaire sur les dépendances, explique jusqu'où peut aller l'obsession pour les mentions « j'aime » des réseaux sociaux.
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