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Les mouvements « Idle No More » et « Faut qu'on se parle » s'invitent au Forum jeunesse de l'Abitibi-Témiscamingue

Rencontre du Forum jeunesse de l'Abitibi-Témiscamingue

Rencontre du Forum jeunesse de l'Abitibi-Témiscamingue

Photo : ICI Radio-Canada / Émélie Rivard-Boudreau

Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2016 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.

Le Forum jeunesse de l'Abitibi-Témiscamingue tient son 11e rassemblement annuel ce samedi à Val-d'Or. Près de 70 jeunes de 18 à 35 ans ont participé à l'événement au Pavillon des Premiers Peuples de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue.

Avec les informations d’ Émélie Rivard-BoudreauTwitterCourriel

Des conférences et des ateliers permettent aux jeunes de prendre la parole sur les enjeux qui les préoccupent.

La cofondatrice du mouvement Idle No More, Widia Larivière, y a présenté une conférence sur son expérience de militante.

Elle a entre autres voulu démontrer que ce mouvement autochtone est toujours vivant et actif

« C'était aussi pour les sensibiliser non seulement aux enjeux autochtones, mais de démontrer les répercussions positives que ça a eues, parce que souvent les gens ont l'impression que ça n'a pas eu de répercussions, et ça n'a servi à rien. »

— Une citation de  Widia Larivière

« Je voulais démontrer qu'il y avait des répercussions positives, que ça a semé des graines autant chez les femmes autochtones, les jeunes autochtones, aussi au niveau politique, dans les partis de l'opposition par exemple, qui ont modifié leur programme pour inclure plus de questions autochtones », a fait savoir la militante autochtone.

Claire Bolduc du mouvement Faut qu'on se parle
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Claire Bolduc du mouvement Faut qu'on se parle

L'ex-présidente de Solidarité rurale, Claire Bolduc, était aussi sur place.

Elle y a animé un atelier pour le nouveau groupe politique « Faut qu'on se parle », dans lequel elle est désormais impliquée.

« Nous, on a considéré cette demande-là comme étant importante, parce que des jeunes se réunissent, parce que ce sont des jeunes qui sont en mode mobilisation, et aussi parce qu'on veut entendre ce qu'ils ont à dire sur les enjeux que nous on a identifiés, et, éventuellement, sur d'autres enjeux aussi. Ces personnes-là, elles peuvent critiquer, elles peuvent identifier des enjeux, mais nous, on pose la question un pas plus loin. Comment on fait pour solutionner, pour régler cet enjeu-là, pour répondre à ce défi-là », a expliqué Claire Bolduc.

Le rapprochement entre les milieux ruraux et urbains, l'environnement, la conciliation travail-famille, la consommation et les relations interculturelles ont également été abordés.

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