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Des œuvres de Banksy pourraient atteindre 500 000 $ aux enchères

« Crazy Horse », de Banksy

« Crazy Horse », de Banksy

Photo : AP Photo/Keszler Gallery

Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2016 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.

Des œuvres du Britannique Banksy, le roi de l'art ubain, pourraient s'écouler à plus de 500 000 $ aux enchères à Los Angeles le 30 avril prochain.

La collection mise en vente par la firme Julien's Auctions comprend des œuvres sur papier représentant des peintures murales que Banksy a créées dans la rue.

Happy Choppers, une murale réalisée en 2002 près du marché de Londres, pourrait être vendue à 150 000 $.

« Happy Choppers » de Banksy
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« Happy Choppers » de Banksy

Photo : Julien's Auctions

Une autre murale, Heart Boy, qui représente un garçon peignant un cœur sur le mur d'une maison de Londres, est estimée à près de 120 000 $.

Une troisième œuvre de Banksy, Crazy Horse, pourrait, pour sa part, être vendue entre 60 000 et 80 000 $. L'artiste l'a réalisée au pochoir sur la porte d'une voiture dans le Lower East Side de New York en 2013.

« Banksy est devenu une icône de culture populaire et un artiste très recherché. Sa valeur va continuer à monter tant que son identité va rester secrète », croit le fondateur de Julien's Auctions.

En octobre 2015, cette maison de ventes aux enchères avait vendu plusieurs œuvres de Banksy. L'œuvre I Remember When All This Was Trees avait été vendue 137 500 $, le montant le plus élevé de l'enchère.

Cependant, l'œuvre de Banksy qui a obtenu la plus haute mise est Keep It Spotless, créée en collaboration avec Damien Hirst. Sotheby's, à New York, l'avait écoulée à 1,8 million de dollars en 2008.

Une identité secrète

Vedette mondiale de l'art urbain, Banksy garde encore son identité secrète. En 2008, un tabloïd britannique avait publié qu'il serait Robin Gunningham, selon les dires d'anciens collègues d'étude de Bristol.

Le graffiteur Banksy
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Le graffiteur Banksy

Photo : Paranoid Pictures

Ces allégations ont été confirmées par des scientifiques de l'Université Queen Mary de Londres. Ils ont employé pour ce faire une méthode de profilage que la police utilise pour retrouver des criminels en série, le « profilage géographique ».

Avec les informations de Agence France-Presse

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