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Trudeau promet 120 000 emplois pour les jeunes et le retour de Katimavik

Justin Trudeau

Justin Trudeau lors d'une randonnée au mont Grouse, à Vancouver Nord, le 11 septembre 2015.

Photo : La Presse canadienne / JONATHAN HAYWARD

Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2015 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.

Après le chef néo-démocrate, c'était au tour du chef libéral, Justin Trudeau, de présenter son plan pour intégrer les jeunes au marché de l'emploi. Un gouvernement libéral investirait 1,3 milliard de dollars afin de créer 120 000 emplois sur 3 ans et d'aider les jeunes à acquérir de l'expérience de travail.

La majeure partie de l'enveloppe servira à augmenter de 35 000 le nombre d'emplois financés par le programme Emplois d'été Canada chaque année. Parcs Canada devra aussi contribuer en embauchant 5000 guides, interprètes et employés supplémentaires.

Les libéraux veulent aussi investir 40 millions de dollars annuellement afin d'aider les employeurs à créer des stages pour les étudiants en sciences, en technologie, en génie et en études commerciales, et 25 millions par an pour ramener le Programme de service volontaire pour les jeunes, abolis par les conservateurs. Justin Trudeau a été président du programme Katimavik, qui permettait aux jeunes de voyager au pays en contribuant à des projets communautaires.

Le chef libéral déplore le haut taux de chômage chez les jeunes, qui atteint 13,1 %, soit le triple de celui des Canadiens de 25 ans et plus.« Je suis certain que vous connaissez tous un jeune qui est parti faire des études universitaires ou collégiales et qui est revenu à la maison son diplôme dans la poche, mais sans travail », a illustré M. Trudeau. « Notre avenir, c'est l'avenir de nos jeunes. C'est leur donner les bons outils pour réussir et contribuer à notre économie. »

Le chef libéral, qui rattrape les néo-démocrates selon la plupart des sondages, s'est vanté de son plan, qui est selon lui 13 fois plus ambitieux que celui de Thomas Mulcair.

« C'est une aide nécessaire que M. Harper n'a pas l'intention de donner et que M. Mulcair n'a pas les moyens de donner parce qu'il a choisi de suivre le plan de M. Haper et d'éliminer son déficit à tout prix », soutient-il.

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