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PC : John Cummins ne remporte pas de siège

Le chef du Parti conservateur de la Colombie-Britannique, John Cummins

Photo : La Presse canadienne / JONATHAN HAYWARD

Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2013 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.

Le chef du Parti conservateur de la Colombie-Britannique, John Cummins,  n'a pas réussi à se faire élire dans la circonscription de Langley en banlieue de Vancouver.

Il a été battu par la candidate du Parti libéral Mary Polak.

Des dissensions

Le Parti conservateur avait été malmené par d'importants problèmes internes depuis l'arrivée de John Cummins à sa tête en 2011.

Dans les semaines précédant le congrès du parti en septembre 2012, par exemple, un groupe dissident nommé Les Amis du Parti conservateur avait tenté de forcer la tenue d'une course à la direction.

John Cummins avait lancé un ultimatum dans lequel il donna trois jours aux membres pour se ranger avec lui ou rendre leurs cartes. Le parti expulsa plus tard quinze membres qualifiés de dissidents.

Les problèmes du parti se sont poursuivis pendant la campagne. Le Parti conservateur a dû écarter des candidats de différentes circonscriptions, dont celui de Vancouver-False Creek, Ian Tootill, qui avait tenu des commentaires inappropriés à propos d'Adolph Hitler.

Le rôle du privé

Le Parti conservateur avait une panoplie d'idées, souvent bien différentes des autres formations politiques de la province.

Il apportait, par exemple, un grand soutien aux projets de pipelines Northern Gateway et Kinder Morgan. Il souhaitait que le secteur privé dispose d'un rôle plus important dans les logements sociaux.

Les impôts, quant à eux, auraient été réduits et le parti aurait revu le niveau de dépenses des services de santé.

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