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Prenez note que cet article publié en 2006 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Des chercheurs de l'Université de Montréal identifient une protéine qui, une fois stimulée, empêcherait le virus du VIH de rendre dysfonctionnelles les cellules du système immunitaire.
Des chercheurs de l'Université de Montréal ont annoncé, lundi, avoir effectué une percée majeure dans la lutte contre le sida.
L'équipe du professeur Rafick-Pierre Sékaly a identifié une protéine, la PD-1, qui, une fois stimulée, permettrait de restaurer la fonction des cellules T, responsables d'éliminer des cellules infectées et devenues dysfonctionnelles par le virus du VIH.
Ces travaux ont été reproduits par des équipes de chercheurs américains et publiés dans la prestigieuse revue Nature Medecine.
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Le coprésident du dernier congrès mondial sur le sida tenu la semaine dernière à Toronto, le Dr Mark Wainberg, a qualifié cette découverte de « pas de géant dans la lutte contre le sida ».
Cette percée pourrait en effet ouvrir de nouvelles perspectives dans le développement de médicaments visant à contrôler l'infection par le VIH. Des essais cliniques pourraient débuter dès l'année prochaine.
Actuellement, environ 20 % des personnes séropositives développent une multirésistance qui finit par empêcher les médicaments rétroviraux d'être efficaces.
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