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Prenez note que cet article publié en 2005 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Le meurtre d'un jeune de 19 ans, pour lequel son frère adolescent est soupçonné, continue d'ébranler la réserve attikamek de Haute-Mauricie. La Sûreté du Québec se heurte à l'opposition de certains membres de la communauté.
Depuis quelques semaines, la violence fait la loi dans la réserve attikamek d'Obedjiwan, en Haute-Mauricie, et la peur y règne.
La Sûreté du Québec, qui a pris la relève des policiers locaux, tente de calmer les esprits après le départ de tous les policiers de la réserve.
Les agents ont tous pris un congé médical indéterminé au lendemain du meurtre d'un jeune homme de 19 ans, sur qui son frère de 15 ans aurait fait feu, dans la nuit du 16 au 17 juillet. Les policiers ont alors dû faire face à l'opposition farouche de quelques membres de la communauté, qui s'opposaient à l'arrestation du présumé meurtrier.
Et la tension ne semble pas avoir diminué depuis ce triste événement.
Plusieurs Attikameks ont de la difficulté à accepter que des étrangers viennent y faire la loi, et des coups de feu ont même été tirés contre le poste de police depuis l'arrivée de la SQ.
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