•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Pétrole: nouveaux records

Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2005 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.

Le cours du pétrole a atteint de nouveaux records, de 62,40 $US à New York et 61,19 $US à Londres. La crainte d'une pénurie d'essence aux États-Unis, en raison de problèmes de raffineries, continue d'affecter les marchés.

Le cours du pétrole a atteint des niveaux record, tant à New York qu'à Londres, mercredi, les inquiétudes concernant l'approvisionnement ne semblant pas vouloir s'estomper.

Le baril de brut a rapidement atteint un prix inégalé de 62,40 $US à New York, pendant qu'à Londres, le prix est monté jusqu'à 61,19 $US, avant de redescendre tous deux pour clôturer sous la barre des 61 $US pour le marché new-yorkais et sous 60 $US pour le marché londonien.

Les problèmes techniques et les incendies survenus la semaine dernière dans des raffineries américaines, au Texas et dans l'Illinois, semblent toujours exercer une pression à la hausse sur les prix.

Les analystes évaluent le recul des stocks d'essence à environ 775 000 barils, une baisse qui survient en pleine période de pointe de la consommation aux États-Unis.

Certains experts ont aussi cité la situation en Iran comme source d'inquiétude. Téhéran a en effet annoncé, lundi, la reprise de ses activités de conversion d'uranium dans ses laboratoires d'Ispahan, malgré les mises en garde internationales.

Bien que l'Iran ait décidé de surseoir à cette décision jusqu'à mercredi, devant le tollé suscité par l'annonce, les marchés restent tout de même en alerte.

Le cours du pétrole s'est envolé une première fois, lundi, après l'annonce de la mort du roi Fahd d'Arabie Saoudite. Cependant, selon les analystes, il s'agissait d'une réaction réflexe temporaire du marché. Le politique d'offre de l'Arabie saoudite ne devrait en effet pas changer.

Les prix sont tout de même demeurés élevés, mardi, signe que les marchés restaient sur les dents.

Commentaires fermés

L’espace commentaires est fermé. Considérant la nature sensible ou légale de certains contenus, nous nous réservons le droit de désactiver les commentaires. Vous pouvez consulter nos conditions d’utilisation.

En cours de chargement...