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Alain Rayes appuie un candidat du Parti vert du Canada

Le député conservateur se lève pendant la période de questions à la Chambre des communes, le mercredi 24 novembre 2021.

Le député de Richmond-Arthabaska, Alain Rayes, donne son appui au candidat vert dans une élection partielle fédérale à Montréal. (Photo d'archives)

Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick

Radio-Canada

L’ancien député conservateur devenu indépendant Alain Rayes a décidé d’appuyer le candidat du Parti vert du Canada lors des élections partielles dans Notre-Dame-de-Grâce–Westmount. Il soutient que ce geste est cohérent par rapport aux valeurs qu’il défend depuis longtemps.

Le représentant de la circonscription de Richmond-Arthabaska espère que le chef adjoint du Parti vert, Jonathan Pedneault, remportera le vote le 19 juin. Il pense qu’avoir un troisième député vert à Ottawa serait une bonne façon de donner une meilleure voix aux enjeux environnementaux.

Je suis indépendant, je suis libre de penser, je suis libre de ce que je dis. Les citoyens, ce qu'ils me disent dans ma circonscription de Richmond-Arthabaska, c'est que l'environnement, ça les préoccupe. Alors je me suis dit : je vais me servir de ma notoriété, de mon poids [politique], pour lui donner mon appui.

Une citation de Alain Rayes, député de Richmond-Arthabaska

Il est jeune, il est dynamique, il a tout un bagage d'expérience malgré son jeune âge, 32 ans, a-t-il dit au sujet du candidat vert.

Jonathan Pedneault et Elizabeth May.

Elizabeth May et Jonathan Pedneault se partagent la chefferie du Parti vert du Canada. (Photo d'archives)

Photo : The Canadian Press / Patrick Doyle

Alain Rayes affirme que l’environnement est une préoccupation importante pour lui depuis plusieurs années.

Quand on regarde tout mon cheminement personnel ou avant d'être député fédéral, j'étais maire de Victoriaville, dont le slogan est le berceau du développement durable. [...] Et lorsque j'ai été élu en 2015 avec Stephen Harper, lors de la première entrevue que j'avais faite, j'avais souligné clairement que le Parti conservateur devait avoir une plateforme environnementale plus ambitieuse s'il voulait espérer retourner au pouvoir, faire des gains, particulièrement au Québec, dans les Maritimes, a-t-il expliqué. Il affirme que ça lui avait d’ailleurs valu des commentaires désagréables de la part de collègues conservateurs.

Quant à savoir s’il souhaite rejoindre les rangs d’un parti politique, Alain Rayes a répondu qu’il compte se questionner sur son avenir politique au terme de son mandat.

D’après l’entrevue réalisée à l’émission En direct

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