•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Les débuts de Cinergie, le rendez-vous francophone des cinéphiles à Saskatoon

Un festivalier lors de la première année de Cinergie, le festival du film francophone de Saskatoon, en mars 2006.

Dès la première année, Cinergie était organisé avec l'appui de la Fédération des francophones de Saskatoon. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada

Radio-Canada

C’est en 2006 que les cinéphiles de Saskatoon ont pu participer pour la première fois au Festival de films francophones de la Ville des Ponts, Cinergie. 17 ans plus tard, l'événement continue d'attirer les amateurs de cinéma.

Lors de cette première année, cinq longs-métrages et une série de courts-métrages avaient été sélectionnés. Les organisateurs misaient notamment sur L’Audition de Luc Picard et sur C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée pour attirer les foules.

Des festivaliers lors de la première année de Cinergie, le festival du film francophone de Saskatoon, en mars 2006.

Plus de 150 personnes s'étaient déplacées pour venir voir le film C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada

Un pari réussi : au total, près de 350 cinéphiles francophones, francophiles et anglophones ont assisté à l’une des projections offertes.

Afin de rendre les films plus accessibles, la majorité d’entre eux ont été diffusés avec des sous-titres en anglais.

J’aime beaucoup les films francophones, ceux du Québec, se réjouissait Rick Milligan, un cinéphile anglophone qui tenait à participer au festival.

Des festivaliers lors de la première année de Cinergie, le festival du film francophone de Saskatoon, en mars 2006.

À travers sa programmation, les organisateurs de Cinergie souhaitaient offrir du cinéma pour les cinéphiles de tous les âges. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada

De nombreux participants soulignaient d’ailleurs l’importance pour les Fransaskois d’avoir accès à des films dans leur langue afin de pouvoir célébrer leur culture linguistique.

Il y a beaucoup de communautés francophones hors du Québec, reconnaissait Vanessa Juneau, une festivalière anglophone. Elles devraient pouvoir célébrer leur patrimoine et leur culture française.

On cherche tous à regarder des films alors pourquoi ne pas en regarder en français?, ajoutait Dominique Bokshowan, une autre cinéphile.

Vous souhaitez signaler une erreur?Écrivez-nous (Nouvelle fenêtre)

Vous voulez signaler un événement dont vous êtes témoin?Écrivez-nous en toute confidentialité (Nouvelle fenêtre)

Vous aimeriez en savoir plus sur le travail de journaliste?Consultez nos normes et pratiques journalistiques (Nouvelle fenêtre)

Chargement en cours

Infolettre Info nationale

Nouvelles, analyses, reportages : deux fois par jour, recevez l’essentiel de l’actualité.

Formulaire pour s’abonner à l’infolettre Info nationale.