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Du financement pour 30 nouveaux services de garde à Trois-Rivières

Jean-François Girard qui donne la collation aux enfants.

Jean-François Girard fait partie de ceux qui ont profité du programme pour les milieux de garde.

Photo : Radio-Canada / Yoann Dénécé

Radio-Canada

Un programme d’aide au démarrage d’un service de garde en milieu familial a connu un tel succès à Trois-Rivières que les partenaires du projet ont décidé de le prolonger pour financer la création de 30 nouvelles garderies, soit près de 200 nouvelles places.

L’an dernier, 60 milieux de garde permettant d’accueillir environ 300 enfants ont vu le jour en sol trifluvien grâce au programme Propulsion services de garde en milieu familial. Initialement, la Ville avait prévu atteindre cet objectif en deux ans, mais il l’a été en 10 mois.

Innovation et développement économique (IDE) est responsable du programme en collaboration avec Desjardins, la Ville de Trois-Rivières. Ce programme novateur alloue un montant de 4600 $ aux personnes ouvrant un service de garde en milieu familial reconnu par l’un des deux bureaux coordonnateurs. Cette somme s’ajoute à la contribution de 3500 $ du ministère de la Famille, portant l’aide financière totale à 8100 $, indique IDE par voie de communiqué.

De la construction à la petite enfance

Jean-François Girard a bénéficié de l’aide de ce programme. Le travailleur du secteur de la construction a repris le milieu de garde de sa conjointe qui ne pouvait plus continuer à s’occuper seule de l’entreprise.

Sans la subvention et la formation offertes grâce au programme, le service aurait fermé.

Des enfants autour du responsable de la garderie, Jean-François Girard.

Jean-François Girard a quitté le milieu de la construction pour reprendre le service de garde de sa conjointe.

Photo : Radio-Canada / Yoann Dénécé

Jean-François Girard, responsable du service de garde éducative Benolitom, salue l'initiative et croit qu’il en faudrait plus. On a toujours de l’argent à [investir], donc des programmes comme ça, il en faut et d’autres aides pour la suite, pour que les milieux de garde puissent rester ouverts aussi, explique-t-il.

Avec des informations de Raphaëlle Drouin

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