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Une Pont-Rougeoise dans le rôle principal de La mélodie du bonheur

Une femme souriante.

Klara Martel-Laroche a suivi ses études au Cégep de Sainte-Foy avant de poursuivre au Conservatoire de musique de Montréal.

Photo : Radio-Canada / Bruno Giguère

La célèbre comédie musicale La mélodie du bonheur s'installera à la salle Albert-Rousseau le 4 août 2023 pour un mois de représentations.

C'est l'artiste native de Pont-Rouge Klara Martel-Laroche qui tient le rôle de Maria Rainer, la gouvernante pétillante immortalisée au cinéma par Julie Andrews et maintes fois incarnée à Broadway.

« Depuis que j'ai su que je faisais ce rôle-là, j'étais sur un nuage, je suis encore sur un nuage »

— Une citation de  Klara Martel-Laroche

À chaque fois, j'avais hâte de retourner sur scène, après 32 shows, j'étais pas tannée, plaisante l'artiste qui a eu une première série de représentations au Théâtre Saint-Denis de Montréal, aux mois de décembre et janvier dernier.

Un homme tient la main d'une femme sur scène avec des valises en arrière-plan.

Klara Martel-Laroche et Éric Paulhus qui tient le rôle du capitaine Von Trapp.

Photo : Eric MYRE - page FB de La Mélodie du Bonheur

Une formation classique

Klara est issue d'une famille où la musique tient un rôle important. Dès son plus jeune âge, elle montre de l'intérêt pour le théâtre et la comédie musicale.

Elle a d'abord étudié au Cégep de Sainte-Foy avant de poursuivre une formation en chant classique au Conservatoire de musique de Montréal, ville où elle a depuis élu domicile.

Dans la jeune vingtaine, l'artiste a déjà fait ses armes autant à l'opéra comme mezzo et mezzo-soprano que dans des comédies musicales telles que West Side Story et Sister Acts.

Une mise en scène de Grégory Charles

La nouvelle mouture de la comédie retrace l'histoire bien connue d'une gouvernante autrichienne, destinée à une vie religieuse, envoyée dans un foyer où elle doit prendre en charge sept enfants qui ont perdu leur mère.

Ils vivent avec leur père, le capitaine Von Trapp, dans les années 1930, au moment où le régime nazi étend son emprise sur l'Europe d'avant-guerre.

Grégory Charles signe la mise en scène de la comédie musicale où plus de 25 artistes se produisent, accompagnés par un orchestre de 10 musiciens.

Il est atypique, j'adore ça. On ne sait pas nécessairement où on s'en va. Il se laisse imprégner aussi de ce que les artistes apportent. Des fois on créé en plein milieu d'une répétition, confie l'artiste à propos de son metteur en scène.

Klara estime que la magie a opéré suite aux représentations montréalaises. C'est le fun de voir que les gens retrouvent ce pour quoi ils sont autant en amour avec La mélodie du bonheur.

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