•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

La Ville d’Ottawa souhaite un règlement à l’amiable avec le Groupe de transport Rideau

Le train léger d'Ottawa en hiver, sous la neige.

Il y a un peu plus d'un an, la Ville s'était tournée vers les tribunaux afin de poursuivre le consortium responsable de la construction du train léger d’Ottawa. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / David Bates

Radio-Canada

Le conseil municipal d'Ottawa a demandé, mercredi, à sa directrice générale des services de transport, Renée Amilcar, de négocier un règlement à l’amiable avec le Groupe de transport Rideau (GTR) dans le cadre d’un différend portant sur le respect des conditions du contrat sur le train léger.

Il y a un peu plus d'un an, la Ville s'était tournée vers les tribunaux afin de poursuivre le consortium responsable de la construction du train léger d’Ottawa.

La Ville l’accusait de ne pas avoir respecté son contrat. Elle lui réclamait, par conséquent, une somme de 131 millions de dollars.

La Ville avait déjà déposé deux avis de défaut contre GTR : le premier en mars 2020, environ six mois après le lancement de la ligne de la Confédération qui a connu des problèmes et le second en septembre 2021, après deux déraillements.

La Ville a saisi la justice pour réclamer la condamnation du constructeur GTR, en raison du non-respect, selon elle, des obligations du contrat.

Une audience devant un juge était prévue dans quelques semaines. Si le tribunal avait décidé que le constructeur n'avait pas respecté ses obligations, la Ville aurait pu mettre fin à son contrat d'entretien de 30 ans, d'une valeur de plus d'un milliard de dollars.

Mais mercredi, le conseil a mandaté Renée Amilcar, directrice générale des services de transport, en consultation avec d'autres hauts fonctionnaires de la Ville, de trouver un accord avec le consortium qui a construit la ligne de la Confédération.

Le conseil municipal a pris cette décision au terme d'une rencontre de plus de 5 heures derrière des portes closes, lors duquel les élus ont pris connaissance d'une mise à jour juridique dans ce dossier.

Le conseil n'a pas donné d'autres détails sur la séance qui a eu lieu à huis clos.

GTR avait déjà fait valoir, entre autres, que la ville allait en justice pour détourner l'attention de l'enquête sur le train léger.

Avec les informations de Kate Porter et Trevor Pritchard, de

Vos commentaires

Veuillez noter que Radio-Canada ne cautionne pas les opinions exprimées. Vos commentaires seront modérés, et publiés s’ils respectent la nétiquette. Bonne discussion !

En cours de chargement...