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L’exposition sur Pink Floyd restera à Montréal plus longtemps

Une femme se tient debout dans une salle d'exposition, devant de grands visages métalliques.

À l'origine, l'exposition « Pink Floyd: Their Mortal Remains » a été conçue pour le V&A, un musée national d'art de Londres.

Photo : Pink Floyd : Their Mortal Remains / Tim P. Whitby

Radio-Canada

Les fans de Pink Floyd qui n’auraient pas déjà vu l’exposition consacrée à l’histoire du populaire groupe de rock progressif britannique à la galerie montréalaise Arsenal art contemporain auront un mois supplémentaire pour le faire.

Pink Floyd: Their Mortal Remains prolongera son passage dans la métropole québécoise jusqu’au 5 février 2023, alors qu’elle devait initialement se conclure le 31 décembre prochain.

Plusieurs dates pour visiter l’exposition affichent déjà complet, ce qui confirme le lien unique qui unit le groupe légendaire et la ville de Montréal, selon un communiqué de l’Arsenal.

La formation y a donné plusieurs concerts importants, dont celui du 6 juillet 1977 devant 78 322 personnes au stade olympique.

On peut voir plus de 350 artefacts de Pink Floyd, dont des instruments, des paroles manuscrites et des accessoires de scène, dans cette exposition, décrite comme un voyage audiovisuel à travers la carrière de plus de 50 ans du groupe.

Les billets pour y assister sont en vente en ligne (Nouvelle fenêtre).

Il est un membre fondateur d'un groupe mythique, probablement l'un des plus grands de l'histoire du rock. Le batteur de Pink Floyd, Nick Mason, était de passage à Montréal pour le lancement de l'exposition sur le groupe, présentée à l'Arsenal jusqu'à la fin décembre. Une ville qu'il chérit et où serait né le concept de l'album «The Wall», après un incident avec un spectateur lors d'un concert au Stade olympique. Entrevue réalisée par Louis-Philippe Ouimet

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