•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

L’Estrie cheffe de file pour le don d’organes

Gros plan sur une personne qui tient deux reins en papier dans ses mains.

Selon le gouvernement du Québec, toute personne de 14 ans et plus, peu importe son état de santé, son orientation sexuelle ou son lieu de résidence, peut donner ses organes et ses tissus à son décès.

Photo : iStock / Phira Phonruewiangphing

Radio-Canada

La région de l’Estrie est la cheffe de file concernant le nombre d’organes utilisés par donneur, à l’échelle du Canada.

Avec 4,5 organes utilisés par donneur, l’Estrie est au-dessus de la moyenne québécoise à 3,5 organes utilisés par donneur, qui est déjà la province avec le meilleur taux du Canada. C’est en tout cas ce qu’affirme l’anesthésiste intensiviste et médecin coordonnateur des dons d’organes au CIUSSS de l’Estrie - CHUS, Dr Frédérick D’Aragon, en entrevue à l’émission Vivement le retour.

Selon le médecin, le système reste perfectible. Évidemment on fait beaucoup de recherches pour améliorer nos pratiques, pour mieux documenter, pour améliorer le devenir des receveurs , explique-t-il.

Cette réflexion intervient après la publication d’un reportage à Enquête, qui traite des ratés du système québécois de dons d’organes.

Le Dr D’Aragon assure que les enjeux entourant le don d’organes sont multifactoriels. Quand vient le temps de décider quel organe on va prélever, ça relève en exclusivité du programme de transplantation , explique-t-il.

Frédérick D’Aragon mentionne qu’il n’existe pas de chiffres quant au nombre d’organes qui sont prélevés et qui ne sont pas utilisés, ou encore concernant le nombre d’organes sains qui ne sont pas prélevés.

Vos commentaires

Veuillez noter que Radio-Canada ne cautionne pas les opinions exprimées. Vos commentaires seront modérés, et publiés s’ils respectent la nétiquette. Bonne discussion !

En cours de chargement...