Sylvain Gaudreault nommé directeur général du Cégep de Jonquière

Le nouveau directeur général du Cégep de Jonquière, Sylvain Gaudreault
Photo : Radio-Canada / Etienne Leblanc
Sylvain Gaudreault avait promis qu’il serait de retour au Cégep de Jonquière maintenant que sa carrière de 15 ans comme député est derrière lui. C’est bien ce qu’il fera, mais non pas comme enseignant en Art et technologie des médias (ATM). Il sera plutôt directeur général.
L’annonce a été faite par communiqué un peu avant 18 h mercredi.
Il prendra la relève de Raynald Thibeault à compter du 12 décembre.
L’offre d’emploi était en vigueur jusqu’au 16 septembre.
L’ancien député du Parti québécois (PQ) avait été élu dans Jonquière pour le premier de cinq mandats en 2007.
Auparavant, il avait œuvré au Cégep de Jonquière de 2001 à 2007 en tant qu’enseignant en ATM
et en sciences humaines, en plus d’avoir agi comme conseiller pédagogique.C’est avec beaucoup de fierté et animé d’un grand sens des responsabilités que j’accepte ce nouveau défi de directeur général du Cégep de Jonquière, un établissement d’enseignement supérieur reconnu pour son leadership au Saguenay–Lac-Saint-Jean et au Québec
, a-t-il fait savoir dans le communiqué de l’institution. Il est d’ailleurs inscrit qu’il n’accordera pas d’entrevue avant son entrée en fonction.
La nomination a été partagée par la présidente du conseil d’administration du Cégep de Jonquière, Valérie Legendre-Guillemin.
Son implication dans le milieu régional et provincial, sa connaissance approfondie de la communauté collégiale combinée à son expérience enseignante ainsi que son parcours politique vont permettre à notre établissement d’enseignement supérieur de continuer son développement sur les plans régional, national et international, autant en recherche qu’en enseignement
, a-t-elle ajouté.
Récemment, Sylvain Gaudreault avait transmis ses dossiers à son successeur, le nouveau député de Jonquière, Yannick Gagnon, de la Coalition avenir Québec.
Sylvain Gaudreault a souvent défendu l’importance du Cégep de Jonquière, notamment pour préserver l’exclusivité du programme d’ATM .