Transport en commun gratuit pour les spectateurs de la Maison de la culture de Gatineau
Dès vendredi et pour les trois prochaines années, un billet de spectacle donnera libre accès au réseau de la STO le jour de la représentation.
Photo : CBC Ottawa - Francis Ferland
Les spectateurs de la Maison de la culture de Gatineau (MCG) pourront désormais profiter gratuitement du réseau de la Société de transport de l’Outaouais (STO), le jour d'une représentation.
C’est ce qu’ont annoncé conjointement jeudi la STO
et la Maison de la culture de Gatineau, à l’occasion du 30e anniversaire de la MCG . L'accès gratuit au transport en commun sera en vigueur dès vendredi et durant les trois prochaines années.Cette belle entente de trois ans, c’est un cadeau que nous offrons aux spectateurs pour nos 30 ans. C’est une plus-value avec un accès direct à nos lieux de diffusion
, a fait valoir en conférence de presse le président du conseil d’administration de la Maison de la culture de Gatineau, Claude Beaulieu.
C’est notre façon d’inciter notre public à faire des choix écoresponsables, même lorsqu’on se déplace pour assister aux nombreux spectacles de notre programmation
, poursuit Claude Beaulieu.
C'est une belle initiative pour choisir l'autobus et nous aider à développer le réflexe du transport en commun
, déclare pour sa part le président du conseil d’administration de la STO , Jocelyn Blondin.
Sera considéré comme titre de transport valide tout billet, en papier ou en version électronique, donnant accès à un des spectacles présentés à la salle Odyssée, sur la terrasse à Espace T, ou encore à la scène PNG à l’auditorium de l’école polyvalente Nicolas-Gatineau. Les spectacles extérieurs présentés à la place de la Cité sont en revanche exclus de ce partenariat.
Les spectateurs pourront disposer de ce libre accès le jour même du spectacle, dès 17 h en semaine, du lundi au vendredi, et toute la journée les fins de semaine.
La gratuité est aussi accessible pour les personnes en transport adapté, avec les billets de la Maison de la culture
, conclut Jocelyn Blondin.