Une baleine lumineuse sur la place des Festivals, à Montréal

« Écho : le chant de l’inconnu » a été imaginée par l'artiste Mathias Gmachl.
Photo : Vivien Gaumand
Prenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Pour la 12e année, Luminothérapie revient jusqu’au 27 février dans le Quartier des spectacles. Cinq œuvres attendent le public, dont Écho : le chant de l’inconnu, de l’artiste transdisciplinaire autrichien Mathias Gmachl.
Cette création lumineuse, sonore et interactive prend la forme d’une baleine de cinq tonnes et de 17 mètres de long. La baleine cesse de chanter si les gens s’approchent trop près d'elle afin de leur apprendre à garder leurs distances pour protéger ce mammifère marin.
Sur les façades de l’Édifice Wilder et du pavillon Président-Kennedy de l’Université du Québec à Montréal, le public pourra découvrir la projection vidéo Nova, qui a pour thème l’environnement fluvial de Montréal.
Sur l’Esplanade de la Place des Arts, l’œuvre Iceberg est inspirée par les sons produits par les icebergs lorsque l’eau s’infiltre dans les crevasses et les fissures.

« Entre les rangs » est visible sur le Parterre, dans le Quartier des spectacles.
Photo : Madeleine Plamondon
Quant à Entre les rangs, cette œuvre est composée de milliers de tiges souples qui ondulent comme des champs de blé dans la campagne québécoise.
Enfin, les bascules lumineuses d’Impulsion voient leur intensité et leur son évoluer selon la manière dont elles sont mises en mouvement par les passants et les passantes.