Passerelle sous l’autoroute 40 : le MTQ prépare une réponse pour Trois-Rivières

Le projet de passerelle cycliste prévoit une structure sous le pont Radisson de l'autoroute 40.
Photo : Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Le ministère des Transports du Québec (MTQ) est sur le point de répondre à la Ville de Trois-Rivières qui lui avait demandé d'évaluer les capacités du pont Radisson à accueillir une passerelle cyclable sous la structure.
À la recherche des solutions sécuritaires pour les cyclistes qui désirent enjamber la rivière Saint-Maurice à cet endroit, les élus trifluviens ont demandé au MTQ
d'évaluer les capacités portantes des piliers du pont Radisson si on ajoutait cette structure pour les vélos.« C’est encore embryonnaire. Nous n’en sommes pas à l’étape d’un projet définitif, mais à la vérification de la capacité de la structure à recevoir un projet de ce genre. »
À écouter aussi :
Sans pouvoir donner une échéance très précise, Roxane Pellerin soulignait que le MTQÀ l'heure actuelle, l’analyse n’est pas complétée. On s’apprête à répondre à notre principal partenaire avant tout
, précise Mme Pellerin.
Un projet de la ville
Même si le MTQ
est impliqué au premier plan du fait que la passerelle utiliserait un équipement géré par le palier provincial, c’est Trois-Rivières qui est maître d'œuvre du projet.En entrevue à Toujours le matin, le conseiller du district de Châteaudun, Luc Tremblay, soulignait qu’il s’agit d’une alternative à l’idée trop onéreuse, évoquée il y a quelques années, d’utiliser le pont ferroviaire tout près du pont Radisson pour la mise en place de la passerelle cycliste.
On s’est toujours fait dire que c’était impossible d’utiliser le pont Radisson. On voulait en avoir le coeur net et le MTQ a accepté notre demande d'évaluation. C’est au moins une ouverture à notre idée
, commente le conseiller.
Aucune évaluation des coûts n’a encore été réalisée. La réponse à venir du ministère des Transports est la première étape. Si celle-ci est favorable, des plans seront élaborés. Quant au financement, le conseiller Tremblay souligne que la Ville étudiera les avenues possibles, dont les subventions gouvernementales disponibles pour le transport actif.