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Les demandes d’aide médicale à mourir doublent sur la Côte-Nord

Un médecin touchant le bras d'un patient sur un lit d'hôpital, en signe de réconfort.

La loi fédérale stipule que seuls les demandeurs dont la mort est « raisonnablement prévisible » peuvent obtenir l’aide médicale à mourir. La loi québécoise la réserve aux personnes « en fin de vie ».

Photo : Radio-Canada

Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2019 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.

Le nombre de demandes d'aide médicale à mourir a presque doublé sur la Côte-Nord depuis l'année dernière. Elles sont passées de 10 à 17 .

Pour la période 2018-2019, 10 des 17 demandes d'aide médicale à mourir ont été approuvées.

Sept personnes n’ont pas reçu l’aide médicale à mourir pour diverses raisons. Quatre personnes sont mortes avant de recevoir l'aide, deux demandes n'étaient pas admissibles et une personne a retiré sa demande.

L'augmentation s'explique par une plus grande aisance de la population avec le concept de l'aide médicale à mourir, selon la Dre Marie-Claude Lebel, directrice des services professionnels et de l'enseignement universitaire pour le Centre intégré de santé et de services sociaux de la Côte-Nord.

Je pense que les gens osent plus le demander. Ils osent plus en parler entre eux. Les patients en discutent avec leur famille et les équipes de santé, explique-t-elle. 

De 2017 à 2018 , 8 des 10 demandes formulées avaient été approuvées.

Avec les informations de Laurence Royer

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