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Une porte ouverte pour les sages-femmes à l’Î.-P.-É.

Une femme enceinte auscultée

Les sages-femmes n'ont pas le droit de pratiquer des accouchements à l'Î.-P.-É.

Photo : Radio-Canada

Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2017 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.

L'adoption de la Loi sur les professions autorisées, prévue pour le mois prochain, à l'Île-du-Prince-Édouard, pourrait ouvrir la porte à un plus grand rôle des sages-femmes pendant la grossesse.

Cette loi régit les professions plus marginales.

En vertu des règles actuelles, les sages-femmes n’ont pas le droit de procéder à des accouchements à l’Île. Elles peuvent tout au plus fournir des services avant et après l’accouchement.

L’Association des sages-femmes de l’Î.-P.-É. tente depuis 10 ans de faire reconnaître la profession dans les textes législatifs et de faire en sorte que les services offerts par les sages-femmes soient couverts par l’assurance-maladie.

D’après Joyce England, la présidente de l’organisme, les sages-femmes offrent des services qui ne sont pas disponibles dans le système de santé actuel.

« Les sages-femmes sont en quelque sorte des éducatrices, dit-elle. Elles passent beaucoup de temps à préparer les familles pour une grossesse, pour l’accouchement et pour l’arrivée du bébé à la maison. »

La nouvelle loi pourrait leur permettre de devenir les soignantes principales des femmes enceintes pendant leur grossesse.

Un groupe qui milite pour un plus grand rôle des sages-femmes, BORN, a lancé une pétition en ligne il y a deux semaines pour inciter les députés provinciaux à appuyer le projet de loi.

Avec les informations de CBC

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