•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

On s’invite chez les conservateurs du Canada

Marie-Ève s'est invitée au congrès des conservateurs pour comprendre ce qui est en train de changer dans leurs rangs et comment le parti réussit à rallier de plus en plus de jeunes.
Si on se fie aux sondages, ça va très bien pour le Parti conservateur du Canada et son nouveau chef Pierre Poilievre. Ils peuvent espérer reprendre le pouvoir au Parti libéral de Justin Trudeau dans moins de deux ans. Marie-Ève et Frédéric se sont invités à leur congrès pour comprendre ce qui est en train de changer dans leurs rangs et comment le parti réussit à rallier de plus en plus de jeunes.

Les militants conservateurs ont été nombreux à nous parler du coût de la vie et d'accès à la propriété. « J'ai seulement 20 ans, je veux une maison. Ça, c'est un rêve que je peux malheureusement laisser de côté pour l'instant. Mais avec Pierre Poilievre, c'est quelque chose qui va s'accomplir, j'en suis certain », nous a confié un délégué québécois, Bryan Bernard.

Mais ce qui a le plus marqué notre équipe, c'est le contrôle du message et l'apparente discipline imposée par Pierre Poilievre à ses militants. Certains membres nous ont avoué qu'on leur demandait de ne pas nous parler.

Malgré l'apparente unité des troupes autour des questions économiques, certains conservateurs sociaux osent tout de même reprocher aux hautes instances du parti son manque d'écoute sur les questions d'accès à l'avortement et des droits des personnes LGBTQ. Ils ont cependant été satisfaits de faire adopter une motion pour interdire les traitements de transition de genre aux mineurs.


Abonnez-vous à notre infolettre en cliquant ici!  (Nouvelle fenêtre)

Rad, le laboratoire de journalisme de Radio-Canada

Les enjeux de société et l’actualité, ça concerne tout le monde. Notre mission, c’est de rendre l’information accessible. Rad, c’est une expérience renouvelée de l’information, la rencontre entre les codes du web et la rigueur journalistique de Radio‑Canada.