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Revoyez notre couverture en direct du témoignage de Justin Trudeau
Il a affirmé que la Loi sur les mesures d'urgence était le dernier recours pour mettre fin aux manifestations.
Le premier ministre Justin Trudeau tient une bible alors qu'il est assermenté comme témoin à la Commission d'urgence de l'ordre public, à Ottawa, le vendredi 25 novembre 2022.
Photo : La Presse canadienne / Justin Tang
Faits saillants
Le premier ministre Justin Trudeau était le dernier témoin à être entendu par la commission d'enquête sur le recours à la Loi sur les mesures d'urgence.
Le premier ministre Justin Trudeau était le dernier témoin à être entendu par la commission d'enquête sur le recours à la Loi sur les mesures d'urgence.
Présidée par le juge Paul Rouleau, la commission entamera la phase relative aux politiques de ses travaux le 28 novembre.
Présidée par le juge Paul Rouleau, la commission entamera la phase relative aux politiques de ses travaux le 28 novembre.
Le rapport final de la commission, avec ses conclusions et recommandations, sera déposé à la Chambre des communes et au Sénat du Canada d’ici le 20 février 2023.
Le rapport final de la commission, avec ses conclusions et recommandations, sera déposé à la Chambre des communes et au Sénat du Canada d’ici le 20 février 2023.
Le premier ministre Justin Trudeau a été interrogé toute la journée, le 25 novembre, dans le cadre de la Commission sur l'état d'urgence.
Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick
Après avoir été interrogé par son propre avocat, le premier ministre Justin Trudeau termine son témoignage. La décision qui a été prise de déclarer l'état d'urgence le 14 février 2022 n'était pas motivée par des desseins politiques, affirme-t-il. « Mon but était d'abord d'assurer la sécurité des Canadiens, puis de m'assurer que les Canadiens continuent d'avoir confiance en leurs institutions », conclut-il.
C'est ainsi que ses terminent les audiences publiques de la commission Rouleau. La phase relative aux politiques des travaux de la commission débutera le 28 novembre.
Un homme porte une casquette arborant le drapeau confédéré dans l'assistance de la commission Rouleau, lors du témoignage du premier ministre Justin Trudeau, le 25 novembre 2022
Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick
Interrogé par Christine Johnson de la Coalition des résidents et des entreprises d'Ottawa, le premier ministre Justin Trudeau explique qu'il craignait que des manifestants réagissent de façon « irrationnelle » à l'imposition de Loi sur les mesures d'urgence. Or, il fallait balancer ce risque avec celui que des « gens qui commençaient à en avoir marre » décident de prendre les choses en mains – ce qui représentait, selon lui, un risque plus important.
L'avocate du « convoi de la liberté », Eva Chipuik, termine son interrogatoire en demandant au premier ministre : « Quand avez-vous commencé à avoir si peur de vos propres citoyens? »
« Je ne lui suis pas, nous ne le sommes pas », répond-il.
Au tour d'Eva Chipuik de poser des questions au premier ministre. Mme Chipuik représente le convoi de camionneurs, aussi connu sous le nom de « convoi de la liberté ». Elle lui lit les déclarations de Canadiens qui se sont sentis lésés par les mesures sanitaires instaurées par la santé publique. M. Trudeau, qui se dit « touché » par ces témoignages, rappelle que la pandémie a été difficile pour tous les Canadiens.
Mme Chipuik reproche ensuite au premier ministre d'avoir insulté les citoyens qui refusaient d'être vaccinés, une affirmation que M. Trudeau réfute. « Il y a une différence entre ceux qui hésitent à se faire vacciner pour toutes sortes de raisons et ceux qui partagent délibérément de fausses informations qui mettent en danger [...] les Canadiens. »
Le contre-interrogatoire reprend avec Stephanie Bowes, qui représente le gouvernement de l'Alberta.
Elle souligne que la réunion à laquelle les premiers ministres ont participé, et au cours de laquelle il a été question de la potentielle mise en œuvre de la Loi sur les mesures d'urgence, n'était pas suffisamment longue pour permettre au premier ministre de prendre connaissance de tous les outils mis à sa disposition. Ce à quoi M. Trudeau répond qu'il n'est pas d'accord.
Le premier ministre Justin Trudeau comparaît comme témoin à la Commission d'urgence de l'ordre public à Ottawa, le vendredi 25 novembre 2022.
Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick
Le témoignage du premier ministre est interrompu pour la pause dîner. Pour connaître les réponses de M. Trudeau aux questions qui lui ont été posées cet avant-midi, vous pouvez lire notre compte rendu.
Le juge Paul Rouleau lors de la dernière journée des audiences publiques de la commission sur l'état d'urgence.
Photo : CBC / Mathieu Theriault
Le juge Paul Rouleau fait une intervention pour déplorer des réactions « déplacées » du public et demander aux membres de l'assistance d'éviter de faire des commentaires et de rire pendant que le témoin répond aux questions.
C'est au tour de Rob Kittredge, du Justice Centre for Constitutional Freedoms, de poser ses questions au premier ministre. M. Kittredge demande si la loi a été invoquée pour forcer le recours à des remorqueuses afin de déloger le convoi. Certaines entreprises avaient préféré s'abstenir d'intervenir lors du blocage.
Les compagnies de remorquage ont été contraintes de faire leur travail en vertu de la loi, mais l'état d'urgence n'a pas été déclaré pour cette raison, explique Justin Trudeau.