Sécurité et itinérance à Val-d'Or

Le comité formé de différents partenaires communautaires dit avoir réalisé ou lancé 84 % des actions prévues.

La ville de Val-d'Or a besoin d'un centre de jour supervisé et davantage de travailleurs sociaux pour …

La consommation, l'expulsion et les revenus insuffisants sont les principales causes dans la région.

Val-d’Or a confirmé son appui au projet de 21 logements de transition du Centre d’amitié autochtone.

Un comité vise à mieux diriger les personnes vers les services et augmenter le sentiment de sécurité.

« C'est un très bon pas en avant », mentionne la mairesse Brindamour.

Ces déclarations surviennent alors que d'autres organismes réclament la démission du député d'Abitibi-Est.

Les chefs autochtones Picard et Wabanonik condamnent à leur tour les propos du député d'Abitibi-Est.

Plusieurs réclament des actions immédiates pour rétablir un sentiment de sécurité au centre-ville.

Il s'en est pris notamment à un reportage d'Enquête sur les abus policiers contre des femmes autochtones.

Les sujets de l'itinérance et de la délinquance au centre-ville continuent de faire abondamment réagir.

Des citoyens expriment leur colère au conseil de Val-d’Or.

Des dizaines de personnes ont manifesté vendredi soir à Val-d'Or contre la violence.

Céline Brindamour demande en outre d'augmenter le nombre d'intervenants sociaux et de patrouilles policières.