Le géoradar qui devait être acheminé à Chisasibi cet été n'a pas pu arriver, en raison des incendies.

Quinze « anomalies » dans le sol pourraient être des sépultures anonymes anciennes.

Elles ont pris la parole lors du rassemblement sur les présumées tombes anonymes à Montréal.

Mary Simon s’exprimait lors d’un rassemblement sur les présumées tombes anonymes d’enfants autochtones.

D’après un sondage mené auprès d'anciens pensionnaires de la région, fouiller le site n’est pas recommandé.

Des recherches pour d'éventuelles tombes anonymes sont toujours en cours sur les lieux.

Chaque élément représenté sur le drapeau « a été soigneusement choisi par des survivants de tout le Canada ».

L'enquête se déroule sur les terrains de trois anciens pensionnats pour Autochtones et d'un ancien hôpital.

Les Autochtones de tout le pays se sont rassemblés à Montréal, jeudi, pour évoquer les sépultures anonymes.

Plus de 17 ans se sont écoulés le début du recours Aubichon, et aucun dénouement n’est à l’horizon.

Selon la Première Nation English River, 10 autres découvertes font l'objet d'une enquête.

Les témoignages d'abus pourraient servir à d'autres enquêtes, mais la confidentialité promise fait obstacle.

En 2022, des recherches au radar ont été effectuées sur le site de l'ancien pensionnat de la communauté.