ICI Espaces autochtones : Rafle des années 1960, gouvernance, Teweikan, Rhonda Head

Ici Espaces autochtones
Photo : Er Shen
Cette semaine : Abandon du projet Énergie-Est de TransCanada; Prise de parole des chefs autochtones devant les premiers ministres du Canada; Gala de musique Autochtone Teweikan le 13 octobre à Québec.
Édition # 47
L'actualité de la semaine
Guy Bois revient, entre autres, sur ces milliers d'Autochtones, victimes de la rafle des années 1960, qui recevront chacun un dédommagement du gouvernement fédéral.
Les Autochtones aspirent plus que jamais à se gouverner
Des dirigeants autochtones ont rappelé cette semaine aux premiers ministres des provinces et à Justin Trudeau les écarts persistants entre eux et les autres Canadiens, les explications de Marie-Laure Josselin.
Après quelques années d’absence, le Gala de musique autochtone Teweikan soulignera, le 13 octobre à Québec, la créativité des artistes et groupes des Premières Nations du Québec et du Labrador et des Inuits du Québec.
Vous avez jusqu'au 11 octobre pour voter pour le Meilleur Spectacle.
Florent Bégin, directeur général de la SOCAM, la Société de communication Atikamekw-Montagnais, nous parle de cet événement.
À ne pas rater au cours des prochains jours :
Innu Nikamu : de la scène au grand écran
Le 10 octobre, au Cinéma du Parc à Montréal, la présentation, sous-titrée en anglais, du long métrage documentaire Innu Nikamu : Chanter la résistance, réalisé par Kevin Bacon Hervieux.
Son film retrace l’histoire du Festival Innu Nikamu implanté sur le territoire des Innus de Maliotenam depuis 32 ans.
Le 12 octobre, lancement des courts métrages du Wapikoni mobile. Dans le cadre du Festival du nouveau cinéma, les cinéastes autochtones de la relève proposeront leur film abordant des thèmes qui leur tiennent à cœur.
Moe Clark nous plonge dans l'univers d'une chanteuse autochtone d'opéra, la mezzo-soprano Rhonda Head.
Melissa Mollen Dupuis répond à la question de Christian : « Si vous n’aviez pas été dépassés en nombre, aurait-il été possible de faire disparaître autant votre identité culturelle? »