À Anticosti, rien n’est comme sur le continent. Il n’y a pas de chiens, mais les chevreuils se nomment Céline, Licheux, Will... Les enfants doivent quitter l’île pour terminer leur secondaire. Et l’hiver, l’isolement est tel que l’on cache des bidons d’essence pour éviter les pannes de motoneige.
Pourtant, pour bien des insulaires, l’amour de la nature et du calme l’emporte sur la solitude et les difficultés que ce mode de vie peut imposer.
Rencontre avec ceux et celles qui font d’Anticosti un lieu hors du temps.