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Armé d’un crayon mine et d'une efface, Éric Gravel crée des illustrations qui dépeignent des humains du quotidien de manière héroïque.
Un texte de Geneviève Tardif
Je pense que n’importe qui peut être un superhéros. Tu as juste besoin de trouver ce que tu peux amener au monde et en faire un endroit meilleur.
L’illustrateur d'Edmonton a découvert son super pouvoir alors qu’il était enfant et qu’il dessinait de petites bandes dessinées.
Même quand j’étais adolescent, j’ai vendu des logos, des "fan arts", des murales. J’ai fait beaucoup de peintures dans les fenêtres d’entreprises de ma ville.
Éric Gravel dessine le portrait de son fils Dexter. Photo : Radio-Canada/Genevieve Tardif
Depuis, il n’a jamais cessé de créer. Cette épopée l’a amené à dessiner pour quelques auteurs un peu partout dans le monde, notamment aux États-Unis et en Australie.
J’ai fait des dessins pour des écrivains qui me trouvent simplement par Internet.
Le talent d’Éric Gravel parle par lui-même. L’artiste réussit à vivre de ses créations principalement grâce au bouche à oreille.
Je fais beaucoup de créations qui combinent le "fan art" et les bandes dessinées. Par exemple, une personne pourrait me demander de dessiner sa grand-mère en Wonder Woman.
Éric Gravel s’inspire de plusieurs artistes dont Stéphane Roux ou Tony Moore qui a illustré The Walking Dead.
Le bédéiste se considère très privilégié de pouvoir utiliser son talent au quotidien et d’exercer sa passion comme métier.
Ça me rend fier. Je serai toujours reconnaissant d’avoir cette habileté.