General Motors (GM) a entamé lundi matin une procédure de faillite dans le cadre d'une réorganisation téléguidée par l'administration Obama. Le gouvernement américain devient ainsi l’actionnaire principal de GM avec 60 % des actions, tandis qu’Ottawa et Queen’s Park en acquièrent 12 %.
Au-delà de ce sauvetage, l’avenir du fabricant reste incertain, notamment en ce qui concerne les modèles qu’il pourrait proposer dans les années à venir.
Sans oublier que, en parallèle, un fonds de pension de l’Indiana a porté en appel le jugement qui autorisait la fusion d’un autre géant américain, Chrysler, avec l’italien Fiat.