Archives
Les meilleurs moments : Émission du vendredi 27 août 2010
Société
Les magazines, pour une dernière fois!
 |
Pour bien lancer la dernière chronique magazine de notre saison, Marianna Simeone attaque avec un dossier de L'Express sur l'emprise de la mafia dans l'économie des pays européens. Elle est accompagnée de Thomas Leblanc, qui partage ses choix de lecture. Les choix de Thomas Leblanc - Wired : Article de couverture : « The web is dead ». La rédaction de Wired soutient qu'avec l'utilisation massive d'applications branchées sur Internet, le web tel que nous l'avons connu n'existe plus. - Polka : Un photoreportage sur le NYPD, le service de police de New York. Le NYPD est sur un pied de guerre permanent depuis 2001. Le magazine de photos Polka consacre plusieurs pages à un dossier du photographe Ethan Levitas, qui capte les policiers de la ville, toujours sur le qui-vive. Monocle : Mediterraneo – Une édition spéciale en format journal, consacrée à la Méditerranée. Un bel objet pour faire durer l'été. Le magazine Monocle a publié une édition estivale du magazine qui célèbre le mode de vie méditerranéen.
Société
Militant de père en fils
Le Sommet du G20 à Toronto au début de l'été a laissé un goût amer à la bouche de plusieurs. Félix Marotte y était comme manifestant. Il a été arrêté et jeté en prison, où il est resté pendant 53 heures. Il en parle avec son père, Hans Marotte, qui installait il y a 22 ans une banderole au sommet de la croix du mont Royal pour militer en faveur de la Charte de la langue française.
Arts et culture
Le sacre à toutes les sauces
 |
La liberté absolue d'utiliser un sacre à toutes les sauces fascine autant le dramaturge Simon Boudreault que le linguiste russe Artiom Koulakov. Une pièce, Sauce brune, fait justement l'exercice de style d'utiliser les sacres de nombreuses façons. Artiom Koulakov enseigne le français en Russie. Il se spécialise dans les jurons québécois. Il effectue son deuxième séjour au Québec. Simon Boudreault a créé sa pièce Sauce brune en 2009. Le théâtre Espace libre présente la pièce à nouveau jusqu'au 11 septembre. « Le sacre nous lie au divin, à l'infini. Ça traduit une forme de poésie. C'est toujours mieux que de faire des références sexuelles ou scatologiques », croit Simon Boudreault. Sauce brune est présentée à l'Espace libre jusqu'au 11 septembre. Des conférences et des discussions Artiom Koulakov est au Québec pour prendre part à des discussions et des conférences sur les particularités de la langue française telle que parlée au Québec. - Le 28 août, dès 14 h 30, Artiom Koulakov jettera un regard russe sur les sacres et l'identité nationale des Québécois lors d'une discussion en public qui sera suivie de la projection du documentaire Stie : Sacrer, c'est sacré!, en présence du réalisateur Sylvain Roy. - Le 2 septembre, à 20 h 45, après la représentation de la pièce Sauce brune, il y aura des échanges avec le public animés par Philippe Ducros, en compagnie d'Artiom Koulakov, et des artisans de la pièce, dont Simon Boudreault. - Le 3 septembre, à 20 h 15, après la représentation à l'Espace libre, il y aura un échange-débat ayant pour thème Créer, c'est sacré : le sacre et la création artistique vont-ils de pair? avec, entre autres, Philippe Ducros, Simon Boudreault, Artiom Koulakov, la professeure Lise Gauvin, Biz, le linguiste et professeur Claude Poirier, Hervé Guay et le journaliste Marc-André Sabourin.
Arts et culture
Pas de pleurs pour ces clowns
Ghislain Taschereau et Jacques Chevalier ont opté pour une étrange frugalité en créant leur nouvelle émission : la mère et la tante de Jacques Chevalier seront mises à contribution dans la maison réelle du comédien. Soirée de clowns à V télé accueillera trois humoristes par émission.
Arts et culture
Michel Rabagliati : les bonnes bulles dans les bonnes cases
« Je dis souvent que la série Paul, c'est de la bande dessinée pour adultes. Mais je dois toujours préciser qu'il n'y a pas de sexualité. » Michel Rabagliati raconte la genèse de Paul, de son admiration pour le dessinateur Franquin à la volonté de mettre au jour un personnage qui lui ressemble. Quand il invente ses aventures pour Paul, Michel Rabagliati travaille seul, en vase clos. « Je ne pourrais pas travailler à deux. Je suis un peu control freak, vous savez. Mon univers est très personnel, très intime. J'aime bien être seul pour faire mes albums. » Les prochaines aventures de Paul le feront plonger dans ses années de scoutisme.
* Radio-Canada n'est aucunement responsable du contenu des sites externes
Archives par date ou consultez les archives du site
Réseaux Sociaux
|